Entrainement brulant ? (libre)

Après avoir tué il fallait maintenant bruler. Jamais je ne m'étais autant amusée. Dire que j'avais l'autorisation de détruire. Aria s'étirait tandis qu'un sympathique feu de camps nous allumais et nous réchauffait. Je me sentais bien, le feu me réchauffait et me redonnait des forces. Je m'éloignais presque à contre-cœur, mais il valais mieux s'éloigner un peu du campement. Tout le monde n'aimais pas le feu comme moi. Au bout d'un moment ma chef s'assit par terre et m'ordonna de manger. Encore, voulait elle m'engraisser ? Toujours est il que je plantais ma lame dans le sol avant de me servir de mon arme comme un dossier. Une fois calée je sortis un sandwich de ma poche et commençais à l'entamer tout en remerciant mon pantalon d'avoir des poches aussi grandes.

Pendant qu'Aria avait la tête dans les étoiles je me concentrais afin de pouvoir manger mon sandwich dans les règles de l'art... sans faire de miettes!
Je dégustais mon déjeuner en silence tout en réfléchissant à des choses plus diverses et variées les unes que les autres. Comme par exemple combien de villages allions nous bruler avant la fin de la journée ? Ou combien de knakis balls fallait il pour faire une knaki entière ? Enfin ce genre de question existentielles. Toujours est il que j'étais bien, tranquillement affalée contre mon épée, le soleil me réchauffait doucement. Un soupir me fit lever la tête de mon sandwich presque finit. J'aperçus Ma chef qui s'était levée et je me levais à mon tour, il allait surement falloir partir

-tu es prête a repartir!?

Question de routine qui me surpris tout de même, d'habitude elle ne semblait pas poser de questions de ce genre. Comme réponse, je mis l'ultime morceau de sandwich dans ma bouche avant de déterrer mon épée et de la poser sur mon épaule. Le message ne pouvait pas être plus clair, on pouvait repartir quand elle le voulait, j'étais prête et le plus en forme possible.

Au moment ou je me levais elle repartait déjà d'un pas léger, comme si exterminer tout ces gens libérait son âme d'un poids immense. Je la suivit donc docilement tout en regardant distraitement les alentours. Soudain elle stoppa net devant moi et je manquais lui rentrer dedans. Elle finit par se remettre à avancer tandis que je battais des bras pour ne pas tomber avant de calquer mon pas sur le sien. L'instant plus tard j'entendis les pas d'un groupe en approche, j'étais trop concentrée à ne pas m'écraser sur ma supérieure et ne les avait donc pas sentis.
C'était un petit groupe surement partit en reconnaissance dans les camps que nous avions détruits. Toujours est il qu'ils s'immobilisèrent à notre approche, ils nous dévisageaient sans ce gêner ce qui était très malpoli. Seule Aria s'avança à leur rencontre, personne ne bougea jusqu'au moment ou la tête de celui qui avait du être le chef de détachement vola dans les airs.
Une partie de la troupe commença à tourner les talons pour s'enfuir tandis que l'autre partie sortais ses armes et venais à notre rencontre avec l'intention de nous éradiquer. Je passais donc aux cotés de ma chef, non pas pour l'aider mais plutôt pour avoir une part de combat. Les fuyards n'étaient pas trop loin mais ce ne semblait pas une bonne idée de les laisser rentrer dans leur campements. J'interrogeais donc ma chef du regard. Fallait il que je les arrête ou les laisser fuir lui semblait une meilleure idée ?

Les fuyards avaient été transpercés sans aucune hésitation par d'immenses piques de sable. Je regardais ce "miracle", fasciné par cette façon de tuer les gens si rapidement, j'eu alors le droit de jouer avec ceux qui restaient. C'est à dire trois hommes qui étaient tout simplement stupéfaits de la façon dont leur compatriotes étaient morts mais aussi qu'ils aient été aussi facilement ignoré. Maintenant ils regardaient mon capitaine avec une immense crainte qui les avait presque tétanisés, je n'allais pas attendre qu'ils reprennent leurs esprits pour commencer à rester avec eux.Je bondis donc en direction de mon premier adversaire qui ne semblait pas m'avoir remarqué, une mauvaise chose pour lui car sa tête vola dans les airs avant d'atterrir entre les deux autres hommes qui avaeint maintenant repris leurs esprits et fonçaient droit sur moi.

Le premier se jeta sur moi en essayant de me plaquer au sol, au moment ou il me toucha, de longues piques sortirent de ses mains pour venir m'érafler au visage et me transpercer l'oreille. Je ne pus m'empêcher je grimacer et de poser ma main à l'oreille. Sa avait beau ne pas être une blessure trop grave, sa ne faisait tout de même pas du bien, discrètement je cautérisais donc la plaie afin qu'elle ne s'infecte pas. L'avantage c'est que je pourrais me mettre un piercing ou une boucle d'oreille maintenant, moi qui avait la flemme de me refaire percer les oreilles voila qui était fait. J'évitais la deuxième vague de pics de justesse en me jetant par terre. J'avais remarqué que le deuxième homme était resté en retrait en nous observait comme devait le faire ma chef. Pour qui se prenait il ?
Je me relevais et me protégeais des volées de pics à l'aide de mon épée. Si il pouvait faire sortir et lacer ces projectiles à volonté, il ne semblait pas pouvoir contrôler leur direction ni leur point d'impact ce qui m'avantageais grandement. Mon arme me protégeant de ces pointes en métal, j'arrivais rapidement à mon but, c'est à dire les jambes de mon adversaire. Je plantais rapidement mon épée devant lui avant de me servir du manche comme d'un tremplin et sauter dans les airs. Je sortis l'une des petites lames que j'avais préalablement détaché de l'arme centrale pou la lui lancer à la base du cou, lorsque je retombais à terre, mon adversaire était sans vie. Je ramassais mes armes avant de me retourner vers le dernier adversaire comme pour lui dire "allez viens me voir"

Il ne se fit pas prier et sortis son katana de son fourreau avant d'enjamber le corps de son camarade pour venir croiser le fer avec moi. Nos lames se rencontrèrent dans un bruit sec, je le vis sourire avant de m'envoyer à terre. Je mis un instant à comprendre qu'il avait utilisé le feu pour me jeter plus loin. A moitié amusée à moitié sidérée je regardais ce grand garçon qui lui aussi contrôlait ce magnifique élément que le feu, par contre il semblait être très sur de ses capacités malgré le fait qu'il semblait un peu moins bien contrôler son pouvoir que moi, au contraire si je m'y prenait bien il pourrait me rendre toutes les forces que j'avais perdu. Maintenant très sur de lui il envoyait des boules de feu tout en tenant tout de même son arme à la main au cas ou j'arriverais à l'approcher. Ce qui n'était pas le cas pour le moment, en effet j'évitais ses attaques du mieux que je pouvais tout en essayant de récupérer la chaleur qu'elles dégageaient afin de reprendre des forces. Ce manège dura un petit moment alors que j'essayais à la fois d'éviter ses attaques et m'approcher de lui. Lui ne semblait plus aussi certain et recommençais à chercher le corps à corps pour se servir de son katana ce qui me faisait bien plaisir car j'en avait marre de sauter partout et puis je voulais lui montrer qu'il y avait d'autres personnes qui contrôlaient aussi le feu.
Il envoya une des ses boules brulantes mais cette fois-ci je n'essayait pas de l'arrêter et je l'entourais de mon propre feu pour la rendre inoffensive pour le moment. Il réagis tout de suite en comprenant que nous avions la même capacité, il s'écarta avant de revenir à la charge que je brisait en lui envoyant un coup de poing dans le ventre avant ce lui envoyer ses propres flammes sur le visage. D'abord plié en deux, il hurla de douleur en reculant. Je saisit ma chance et lui cassait le genoux en donnant un violant coup de pied dedans, il tomba au sol en s'embrasant. C'était une combustion contrôlée mais il m'empêchais de l'approcher même si il ne pouvait pas se déplacer. Comme il ne représentait plus un danger potentiel je m'assis le plus près possible tout en vérifiant qu'il ne pouvait pas me toucher avant d'empaler quelques chamallows sur un bout de bois avant de les mettre dans la fournaise en me léchant les babines.
Juste avant que je mette ma dernière sucrerie dans la bouche, il envoya une langue de feu venir bruler ma main et mon précieux bout de bois, je ne pus m'empêcher d'ouvrir grand la bouche sous la surprise en me tenant la main. Je n'aimais pas qu'on me brule, maintenant qu'il m'avait brulé la main j'allais lui faire payer. Je me fit une couverture de flammes afin de lutter contre la morsure des siennes, je rentrais dans le feu avant de l'attraper par les cheveux et lui frapper la tête contre un rocher jus qu'as qu'il se mette à saigner. Maintenant je m'amusais à lui briser un par un chacun de ses membres mais j'abrégeais ses souffrances en lui brisant la nuque, ma protection de feu était trop mince et je commençais à avoir chaud.

Je m'assis donc un instant sur le corps brisé pour chercher des yeux ma chef en rassemblant mes armes afin de les nettoyer malgré le fait qu'elles n'avaient pas trop servi.

[Post super long et surement pas très intéressant désolée]